Produits dans leurs packaging des années 70.

Intermarché redonne un look 70s à ses packagings

© Intermarché

« Bonsoir madame, bonsoir mademoiselle, bonsoir monsieur, bienvenue sur TF1 et bonne soirée à tous ! ». Les mots de la plus iconique des speakerines des années 70, Evelyne Leclercq, font leur retour dans la campagne Intermarché.

Pour ses 50 ans, l'enseigne de supermarché fait un voyage dans le temps. Avec les technologies qu’offre 2019, l'Evelyne Leclercq de l’époque fait son retour sur nos écrans le 27 mai 2019. Une madeleine de Proust télévisuelle imaginée par l'agence Romance pour Intermarché.

Découvrez la dernière campagne Intermarché

Le retour du packaging 70s

En duplex du passé, Evelyne en profitera pour présenter un autre évènement teinté de nostalgie : le retour des produits de l’époque chez Intermarché. Réédité dans leurs emballages d'époque, on retrouvera le pot de moutarde Amora à l'effigie de Goldorak, la bouteille de Teisseire grenadine de l’époque où vous disiez « gronadine » et bien d’autres produits dans les rayons Intermarché. Ils seront tous disponibles à l’achat dès le lundi 27 mai 2019. 

 

commentaires

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  1. Avatar Anonyme dit :

    en 1969 toutes les meres ne fumaient pas de l herbe comme le laisse a penser votre pub. Quelle honte. Comment avez vous ete autorise a ecrire de telles absurdites. votre pub devrait etre censuree

    • Avatar Mokafix dit :

      Censuré ? woaaaah rien que cela ! et sinon l'ironie était en option chez vous ?

      Parce que bon, cette pub est à lire au second degrés... la scénette se déroule en 1969, pour parler d'un produit (que je trouve franchement pas bon, m'enfin les goûts et les couleurs...) qui est composé d'ail et fines herbes... or la fin des années 60 et le début des années 70 coïncide avec la libération de la parole et que on commence à parler de certains sujets encore "tabou" comme les "herbes" à fumer... "herbes" auquel on prête un coté conviviale entres amis, or un autre produit est présenté comme "conviviale", c'est le Boursin, avec ses ails et ses fines herbes qui se partagent entre amis et qui fait plaisir... le reste du champ lexical joue justement là dessus ("une odeur d'herbe" etc.)

      Donc oui, cette pub est à lire au second degrés et surtout comme un traie d'union entre deux choses de l'époque, et que justement on a pas besoin de fumer d'herbes pour être content, puisque manger du Boursin suffit selon eux. Et donc non, cette pub' ne dit pas "toute les mères fumaient de l'herbe" (j'ai beau relire la pub il y a rien qui laisserait penser cela), pas plus que d'une quelconque apologie ou présentation positive des drogues...

      Si on lit la pub littéralement, ca parle d'herbe oui... des herbes du Boursin. Il y a pas besoin de prendre des "herbes" pour le voir. Ou bien il faut en avoir fumé pour voir autre chose que cela... :p

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