
Cette fois, c'est clair. Les faux-followers sont hors la loi.
« Quoi t'as même pas 200 followers ? » Pour beaucoup, sur les réseaux sociaux, ce qui compte c'est le nombre d'abonnés. Pour certaines marques ou influenceurs, peu importe qu'ils soient réels ou fictifs.
Unilever avait déjà annoncé faire la chasse aux influenceurs qui trichent. Mais d'autres marques ou stars des réseaux sociaux sont beaucoup moins scrupuleuses. Des entreprises spécialisées dans les faux abonnés faisaient donc recette de ce commerce peu moral. La justice américaine a décidé d'y mettre un terme.
Un accord à l'amiable
La procureure générale de New York, Letitia James, a déclarée cette pratique illégale dans le cadre d'un enquête contre quatre entreprises dont la société Devumi. L'accord a été conclut à l'amiable et aucune sanction n'est mentionnée. Mais c'est la première fois que la justice traite du sujet de la légalité - ou l'illégalité - de cette pratique.
Participer à la conversation