
La startup entend soutenir les restaurateurs avec son concept de « light franchising » et leur permettre de se développer dans cette nouvelle économie.
La technologie au service de la food
Not So Dark (NSD), startup de la foodtech créée en 2020 par Clément Benoit (également fondateur de Stuart) et Alexandre Haggai, soutenue par Oscar Salazar (co-fondateur d’Uber), entreprend une nouvelle étape de son développement. Après avoir levé 20 millions d’euros en février 2021 pour devenir le leader européen du marché des Dark Kitchen, la startup ambitionne désormais de créer le plus grand restaurant virtuel au monde en aidant la restauration traditionnelle à transitionner vers le digital en proposant un concept de « light franchising » .
Ce nouveau concept consiste à proposer à des restaurateurs ou hôteliers traditionnels d'opérer son portefeuille de marques dans leur établissement en mettant à profit l’espace inutilisé de leur cuisine. NSD met à disposition des partenaires restaurateurs ou hôteliers un concept clé en main en proposant des marques fortes faciles à opérer. Un concept basé sur la technologie en proposant son expertise dans la restauration et tout son savoir-faire en matière de marketing, packaging et pricing pour répondre aux besoins de consommation des Français en termes de conception et de réalisation de plats de qualité, adaptés à la livraison rapide.
« La technologie que nous développons au service de l’opérationnel permet de prédire la demande et ainsi de réduire les délais de préparation, d’optimiser les coûts de personnel et de limiter les pertes. D’ici la fin de l’année, nous avons pour objectif d’ouvrir 500 restaurants virtuels en France. »
Un plan d’expansion rapide sur le marché des Dark Kitchen
D’ici la fin de l’année et avec l’objectif de devenir une nouvelle licorne française, l'entreprise compte recruter 150 nouveaux collaborateurs pour accompagner la transition digitale des restaurateurs partout où sont présentes les plateformes de livraison, mais aussi soutenir le développement de ses marques virtuelles en les associant aux plus grandes personnalités du cinéma ou du sport.
« La crise et le confinement ont accéléré l’essor du marché des Dark Kitchen et ce mode de consommation va continuer à se développer. Mais ce marché n’a rien de sombre. Nous ne sommes pas en concurrence avec la restauration traditionnelle où l’ambiance et le présentiel resteront la valeur de proposition. Avec ce modèle de light franchising, nous soutenons la reprise économique du secteur en proposant aux restaurateurs de saisir l’opportunité de se placer sur un marché en pleine expansion, avec des garanties de succès. »
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