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Ouverture de Liberté Living Lab

Le LIBERTÉ LIVING-LAB, nouveau lieu d’innovation technologique, civique et sociale, a ouvert ses portes ce mardi 18 octobre, dans le 2e arrondissement de Paris.

Lieu pluridisciplinaire, intergénérationnel et multiculturel ouvert à tous, il regroupe sur 2000 m2 des acteurs visionnaires et engagés sur des enjeux de société, à l’avant-garde du changement.

Le LIBERTÉ LIVING-LAB entend accélérer l’émergence   et le développement d’initiatives en faveur d’enjeux de bien  commun. Son ambition: innover, inclure et œuvrer, avec d’autres, à l’émergence d’une « social valley française  ».

Le LIBERTÉ LIVING-LAB est le fruit d’une réflexion développée par ses deux co-fondateurs : Marylène Vicari et Jérôme  Richez. Pensé avec des architectes scénographes et des designers pour que ce lieu d’expérimentation soit aussi un lieu de vie ouvert à  tous.

Le LIBERTÉ LIVING-LAB formule l’hypothèse d’un mouvement « Tech for Good » porté par des acteurs pour qui le bien commun est prioritaire. Le lieu et le projet s’inscrivent dans cette dynamique : celle de réunir des entrepreneurs visionnaires et d’accélérer des projets tech et data qui répondent à des enjeux de société urgents tels que l’emploi, le travail, l’économie, l’éducation, la culture ou encore le renouveau de la  démocratie.

Quelques exemples d’acteurs résidents au  LIBERTÉ  LIVING-LAB :
Bayes Impact (fondé par Paul Duan) : "start-up ONG" composée de data scientists mettant leurs compétences au profit de la résolution du chômage avec Pôle   Emploi.

Hello Tomorrow (fondé par Xavier Duportet) : association qui favorise les ponts entre les sciences, la tech et le business sur des enjeux de société en animant une communauté de plusieurs milliers de chercheurs et d’entrepreneurs internationaux.

Mangrove : collectif qui repense le travail et les modèles d’organisations.

Jam (fondée par Marjolaine Grondin) : app d’intelligence artificielle qui répond aux besoins des étudiants.

Hello Asso (fondé par Léa Thomassin et Ismaël Le Mouël), plateforme numérique qui porte le renouveau associatif et qui a déjà collecté via le net plus de 27 millions d’euros au profit d’associations françaises de bien  commun.

Fluicity (fondé par Julie de Pimodan) : start-up "civic tech" qui entend œuvrer pour le renouveau  démocratique.

Impala qui utilise la data science et la psychologie au service de l’orientation scolaire.

Le LIBERTÉ LIVING-LAB entend ainsi expérimenter des initiatives sur des terrains de bien commun, avec l'idée d'un "modèle" français, d’une "social valley française". C’est en ce sens que Mohammed Adnène Trojette rejoindra l'équipe du LIBERTÉ LIVING-LAB début novembre. Haut fonctionnaire de l'État, Mohammed Adnène Trojette est un expert des questions d'open data et de démocratie participative, également enseignant à Sciences Po. sur les enjeux du numérique pour les organisations publiques.

Début 2017, le LIBERTÉ LIVING-LAB créera son propre fonds de dotation. Il sera alimenté par 1/3 des résultats financiers de l’entreprise après impôts et du mécénat. Son objectif : soutenir des projets de bien commun et financer des équipes pluridisciplinaires d’excellence (chercheurs, data scientists, entrepreneurs) qui travailleront sur des enjeux "Tech For Good" identifiés. Un premier appel à projets et à candidatures international sera lancé dès novembre.

 

 

 

 

Le LIBERTÉ LIVING-LAB est aussi un lieu de découverte et d’apprentissage pour tous les publics, notamment les jeunes publics avec de nombreux programmes et ateliers proposés aux enfants et aux adolescents. Premier rendez-vous dès les vacances de la Toussaint pour les 13 - 18 ans avec le cycle Superhumans sur le thème « Quels supers pouvoirs pour hacker la ville ? ». Au programme : une semaine d’immersion, de découverte et de prototypage pour fabriquer, connecter, partager et raconter la ville avec des makers, des performers, des artistes passionnés de data et des entrepreneurs spécialisés dans la fabrication numérique.

 

 

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