Champ de blé

Kellogg France lance sa nouvelle marque employeur

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Kellogg France dévoile la marque employeur « Nourrissons une même ambition pour le monde » pour recruter et fidéliser ses talents.

Ce pivot, initié par l’équipe Ressources Humaines de l’entreprise, a pour objectif d'exprimer ses valeurs autour d’une nouvelle identité. « Le lancement de cette nouvelle marque employeur a été l’occasion d’afficher la politique autour de la flexibilité au travail que l’entreprise met en œuvre depuis plusieurs mois, un positionnement en phase avec la période actuelle », a déclaré l'entreprise dans un communiqué.

Recruter de nouveaux profils

Leader sur les produits céréaliers, Kellogg’s souhaite aujourd’hui se faire connaître en tant qu’employeur. L'ambition ? Recruter de nouveaux profils. 

« Aujourd’hui les candidats sont constamment en veille sur les actualités des entreprises. Définir notre marque employeur nous a semblé évident à la fois pour rester dans l’esprit des candidats qui souhaitent intégrer l’entreprise mais aussi pour développer une notion de fierté d’appartenance qui émerge chez les employés déjà en poste », explique Rachida Saraka, DRH Kellogg France ».

La flexibilité au travail au coeur de la campagne

Selon le communiqué, « la flexibilité au travail est un élément clé de différenciation » de la marque Kellogg.

Horaires aménagés d’été, partenariat avec les crèches Les Petits Chaperons Rouges, indemnité ponctuelle pour l’achat d’équipement lié au télétravail et portail d’entreprise... l'entreprise cherche à étendre sa politique en matière de télétravail. 

Avant la crise sanitaire, le télétravail y était déjà une pratique généralisée. « 100% des collaborateurs y étaient éligibles et 96% avaient déjà eu au moins une fois recours au télétravail en 2019. Selon une enquête interne réalisée en 2020, 82% des employés souhaitent étendre la flexibilité au travail ».

commentaires

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  1. Avatar Jean Denis dit :

    Après plusieurs plans sociaux avec des services entièrement délocalisés en Roumanie, des collaborateurs au bord du burn-out et qui ne sont pas du tout épanouis, la DRH met le paquet pour essayer d’attirer non pas des talents mais des candidats car plus personne ne souhaite travailler dans une multinationale qui exploite ses salariés. Dommage que ces vidéos ne reflètent pas du tout la réalité quotidienne au sein de l’entreprise

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