
Un ballet inlassable, quasi monochromique et artistique : le dernier film de la 3e Scène de l’Opéra explore le rapport entre le corps, l’esprit, et l’architecture. Captivant.
Récemment désigné comme l’annonceur de l’année, l’Opéra National de Paris ne cesse de nous étonner. Avec sa 3e Scène, l’institution propose des rencontres entre les arts pour présenter, sous un jour nouveau, cet emblème de culture.
Imaginée par Ill-Studio et intitulée États Transitoires, la performance se déroule dans les dédales de l’Opéra Bastille. On y voit le danseur Axel Ibot se démultiplier pour nous livrer une exploration sur le mouvement.
L’analyse esthétique du déplacement et de la géométrie donne l’impression que le corps, avec sa mécanique particulière, n’est plus soumis aux lois de la physique.
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