Seringue poursuivant des sportifs

« À l’insu de mon plein gré », un ouvrage qui dévoile les 100 plus belles excuses du dopage

© A l'insu de mon plein gré

Dans le recueil « À l’insu de mon plein gré », Christophe Duchiron, journaliste et documentariste, et Manuel Tissier, rédacteur en chef adjoint à Stade 2, nous dévoilent les plus belles excuses de dopage.

La volonté d’améliorer ses performances, d'aller toujours plus vite, plus haut, plus fort a poussé bien des sportifs à recourir à des substances illicites. Mais quand il se font prendre, peu d'entre eux assument. À l'instar de la marionnette de Richard Virenque dans Les Guignols de l'info un grand nombre indique que cela s'est passé « à l'insu de mon plein gré » !

Couverture du livre "A l'insu de mon Plein Gré"

« C'est pas ma faute », les pires excuses que les auteurs ont rassemblées dans un florilège

Souvent les sportifs se défendent de façon surréaliste, à coups d'excuses bidon, de versions loufoques et d'arguments grotesques. Que dire de ces footballeuses nord-coréennes se déclarant victimes de la foudre après un contrôle positif aux stéroïdes ? Du tennisman français Richard Gasquet se disant contaminé par un baiser à la cocaïne ? Ou encore du cycliste Dieter Bauman assurant qu'on a introduit un produit dopant dans son tube de dentifrice ? Avec les dopés, c'est souvent la faute des autres, du médecin, du chien, du steak, et les motifs invoqués sont tous plus improbables les uns que les autres.

Vraies ou fausses, crédibles ou délirantes, ce sont ces excuses que les auteurs ont rassemblées dans un florilège réjouissant servi par un style plein d'humour et de légèreté. Du cyclisme à l’athlétisme, en passant par le tennis, le rugby, le football, le ski, la natation ou encore le billard et le cricket, une chose est sûre, l' imagination des sportifs n'a pas de limite. 

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