
Un rapport parlementaire britannique qualifie le réseau de Mark Zuckerberg de « gangster du numérique ».
Scandale après scandale, Facebook s'est forgé une réputation de « super bad boy des réseaux sociaux ». Et même les députés britanniques s'y mettent en qualifiant la plateforme sociale de Zuckerberg de « gangster du numérique ».
Dans son rapport, le comité du numérique, de la culture, des médias et des sports accuse Facebook de désinformer les citoyens et de participer à la propagation des fake news. « La démocratie est en danger à cause du ciblage malveillant et continuel des citoyens avec de fausses informations et des "dark publicités" personnalisées provenant de sources non-identifiées. Des contenus dangereux qui sont diffusés sur les réseaux sociaux que nous utilisons quotidiennement, » prévient Damian Collins, le président du comité.
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