Candidat à la présidentielle vieilli selon le procédé de Deep Fake

Greenpeace profite de la présidentielle pour interpeller sur le changement climatique

© Greenpeace

Bienvenue dans le futur, en 2042, un monde profondément marqué par les conséquences catastrophiques du changement climatique...

Grâce au procédé technologique du deep-fake, Greenpeace met en scène des animateurs et des personnalités politiques qui reviennent 20 ans plus tard sur la période que nous vivons actuellement. L'objectif ? Mettre la lumière sur ce que nous voulons et pouvons encore éviter : une crise climatique plus grave encore que celle qui est déjà à l’œuvre.

Tout est encore possible

Bonne nouvelle : nous ne sommes pas en 2042, mais bien en 2022, et cette élection présidentielle française décisive n’a pas encore eu lieu. D’ici au premier tour, le dimanche 10 avril, tout est encore possible. Si la place des questions climatiques dans les débats présidentiels est encore extrêmement réduite, on voit tout de même plusieurs candidates et candidats s’exprimer sur le sujet et en faire un axe essentiel de leur programme. D’autres, inversement, passent complètement le sujet sous silence, voire proposent de mener une politique qui conduirait droit à la catastrophe.

Greenpeace affiche la priorité du climat

Le 7 février au matin, des affiches colorées ont fleuri dans les rues de nombreuses villes françaises, pour rappeler la nécessité que le ou la futur·e président·e de la République soit « crédible pour le climat ». Sur les réseaux professionnels, une offre d’emploi (fictive) reprenant les mêmes codes a également circulé.

Cette campagne d’affichage a été menée dans 27 villes de France avec pour objectif de sensibiliser la population à l’enjeu climatique, encore trop absent des débats autour de l'élection présidentielle.

Survifood, un service de livraison de plats immangeables

« Ce n’est pas parce que c’est accessible que nous devons accepter de manger n’importe quoi ». C’est le concept de Survifood, le service de livraison de plats immangeables, imaginé pour Greenpeace France par l’agence digitale Jellyfish.

À travers Survifood, Greenpeace France souhaite interpeller les candidats à l’élection présidentielle, susciter une réaction du grand public et faire comprendre, auprès d’une audience jeune notamment, que la précarité alimentaire n’est pas une fatalité. En effet, des solutions existent comme la sécurité sociale de l’alimentation, ou encore des repas sains et responsables à 1 euro dans les restaurants universitaires.

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