
Contactées par PETA, les marques du groupe SMCP se sont chacune engagées à ne plus utiliser de fourrure animale.
Après avoir été contactées par PETA, les marques françaises Sandro, Maje et Claudie Pierlot ont confirmé qu'aucune fourrure animale ne figurera plus dans leurs collections à partir de janvier 2020.
« Les consommateurs d'aujourd'hui ne veulent pas de vêtements obtenus au prix de la souffrance d'animaux confinés, frappés et violemment dépecés », déclare Mathilde Dorbessan, chargée des relations avec les entreprises pour PETA. « En renonçant à la fourrure, les marques du groupe SMCP ont pris une décision juste pour les animaux, la planète et les consommateurs. »
La PETA invite les marques à s'orienter vers des textiles innovants
Des enquêtes diffusées par PETA ont mis au jour le calvaire subi par les renards, lapins, visons, chiens viverrins et autres animaux exploités pour leur fourrure. Il n'est donc pas surprenant qu'aujourd'hui, tout le monde, de Jean Paul Gaultier à la reine d'Angleterre, tourne le dos à cette matière sanglante.
PETA, dont la devise dit notamment : « Les animaux ne nous appartiennent pas et nous n'avons pas à les utiliser pour nos vêtements », souligne qu'avec la quantité de textiles innovants disponibles aujourd'hui et qui n'impliquent pas la torture d'animaux, il est simple de passer à des matières sans cruauté. Aujourd'hui, 91 % de la population française est opposé au commerce de la fourrure et PETA milite pour une interdiction de la production de fourrure animale en France.
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