
D'après une étude menée par Qlik, les Français sont submergés par les données et un tiers d'entre eux ont du mal à détecter les fake news.
39% des salariés français avouent avoir du mal à distinguer le vrai du faux et plus d’un quart d'entre eux ne remettent jamais en question les informations présentes dans les médias ou sur leur lieu de travail. Devant ce phénomène de désinformation, les 16-24 ans, plus exposés aux contenus, sont les plus vulnérables.
Ce qui laisse supposer qu'il existe un vrai et un faux ou bien un plutôt vrai et un plutôt faux ? Ce n'est pas en ces termes que ce pose la question.