
Pour dénoncer les biais méthodologiques des études publicitaires réalisées à partir d'un souvenir publicitaire déclaré, Happydemics a conduit une étude sur une publicité imaginaire, que personne n'a vu.
Pour démontrer l'importance de l'exposition réelle à une publicité et mettre en lumière les biais méthodologiques, la startup Happydemics a mené une étude sur une fausse publicité : « Greenergy, l’énergie aérienne 100% bio ». Sur 597 personnes interrogées, 14% ont déclaré se rappeler de la campagne en question. Un chiffre particulièrement important quand on sait que l’on estime à seulement 31% la mémorisation classique d’une campagne digitale réellement diffusée. Ces scores posent problème, puisqu’ils peuvent être à l’origine de performances surévaluées par les entreprises commanditaires. L'expérience montre donc que les entreprises avides d’exactitude ne peuvent plus se permettre de s’appuyer sur des analyses évoquant un souvenir publicitaire.
Pour ne pas tomber dans ces biais méthodologiques et mesurer l’impact réel des campagnes publicitaires, Happydemics propose un nouvel outil, l’Impact Score, qui est le premier "post-test" s'appuyant sur l’exposition réelle, et non supposée, d’un individu à la publicité pluri-médias, qu’elle soit TV, digitale ou encore affichage, et ce, grâce aux données mobiles enregistrées. Avec ce nouvel outil, Happydemics a l’ambition de fournir aux entreprises des résultats beaucoup plus fiables, afin d'optimiser leurs investissements annonceurs.
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