
SportEasy, application web et mobile lancée en 2012 pour permettre à ceux qui font le sport amateur de passer plus de temps à vivre leur passion, et moins à résoudre des problèmes, annonce une levée de fonds de cinq millions d’euros. L'objectif de SportEasy est de franchir la barre des 10 millions d’utilisateurs d’ici cinq ans.
Cette levée doit permettre à SportEasy de poursuivre le déploiement en France et à l’international de son application qui vise à simplifier le quotidien des clubs de sport amateur.
Ce nouveau tour de table a trois principaux objectifs :
- Assurer aux 1,5 million d’utilisateurs de l’application et aux futurs inscrits de voir les services proposés par SportEasy s’enrichir sans cesse de nouvelles fonctionnalités
- Renforcer son leadership en France et accélérer sa croissance à l’international
- Devenir le leader européen du marché d’ici à 2024
Pour cela, la start-up prévoit de doubler ses effectifs en recrutant 15 personnes d’ici à un an dans ses équipes tech, produit, support, marketing et commerciales.
Simplifier la gestion du sport amateur
En plus d'aider les clubs dans leur organisation et leur communication au quotidien, la start-up les connecte désormais à tout un écosystème de partenaires et les aide à trouver des sponsors plus facilement. Grâce à sa relation bâtie depuis plusieurs années avec des dizaines de marques, elle a d'ailleurs lancé SportEngagement, un programme de sponsoring qui réinvente la relation club - sponsor.
« Notre levée de fonds intervient à un moment charnière où le marché du sport amateur doit réagir et témoigner de sa résilience. Grâce à ses fonctionnalités d’organisation et de communication, SportEasy est un allié technologique sur lequel les clubs peuvent compter pour mieux se structurer et affronter les défis de la reprise, mais aussi pour fidéliser et attirer de nouveaux licenciés. La digitalisation du sport amateur est une lame de fond qui s’est accélérée avec la crise sanitaire ; en attestent les milliers de clubs qui se sont inscrits ces deux dernières saisons, alors que leur activité était très contrainte. »
Nizar Melki, co-fondateur de SportEasy
Participer à la conversation