
Altruwe, c’est le réseau social de ceux qui s’engagent pour l’altruisme ! À l’origine, un constat : l’altruisme est LA valeur partagée par tous ceux qui aspirent à changer d’époque. Or cette valeur se cultive et se partage !
Le pari d'altruwe
Par mimétisme social, plus on est confronté à des actes ou des récits altruistes, plus on le devient soi-même. Et comme ces contenus sont trop peu souvent mis en lumière, c’est à nous de les rendre visibles. L’ambition est donc de créer une dynamique, en fédérant tous ceux qui pensent qu’une société plus altruiste saura mieux faire face aux nombreux défis contemporains. L’idée motrice consiste à utiliser les réseaux sociaux pour promouvoir l’altruisme dans la société afin de la rendre meilleure.
Cette initiative, à but non lucratif, est inspirée du modèle de Wikipédia et a vocation à être financée par des dons.
1000 jours pour créer de l’impact
Tout projet ambitieux doit se donner un horizon. C’est pourquoi au bout de 1000 jours, l’application disparaîtra.
Application mobile, communautaire et francophone, altruwe a pour ambition de :
- Rassembler le plus grand nombre de contributions (articles, vidéos, podcasts...), réflexions et initiatives qui soient positives, éclairantes et surtout donnent envie d’agir.
- Assurer leur partage sur les réseaux sociaux traditionnels, en invitant chaque membre à être acteur de ce changement positif, en diffusant autour d’eux les contenus inspirants.
- Créer une dynamique d’entraide et d’émulation pour s’engager dans des actions concrètes

Altruwe est porté par 2 entrepreneurs du numérique, ayant revendu leurs entreprises respectives avant de mettre leur énergie et expérience dans cette cause :
- Jérémie Mani, ancien CEO de Netino, est un spécialiste de la modération internet. Il s’est confronté de près à la haine en ligne ces 10 dernières années.
- Yves Delnatte, ancien CEO d’Ineat, est un entrepreneur engagé pour le mieux-être au travail. Son domaine d’expertise, c’est la conception de sites web et app mobiles.
Ils sont accompagnés de 2 experts altruistes :
- Sarah Herz, directrice éditoriale à Condé Nast et fondatrice du magazine G.I.V.E
- Arnaud de Saint Simon, conférencier, 25 ans à la tête de Psychologies Magazine

Cette utopie assumée est soutenue par Matthieu Ricard ainsi que de nombreux parrains inspirants issus des médias, de l’entreprise et du monde associatif :
- Frédérique Bedos (Imagine)
- David Creuzot (Konbini)
- Flavie Deprez (CareNews)
- Ludovic Dujardin (Petit Bambou)
- Nicolas Froissard (Groupe SOS)
- Laurent Gounelle (Romancier)
- Danielle Henkel (Entrepreneur engagée)
- Jacques Huybrechts (Entrepreneurs d’avenir)
- Michael Jeremiasz (Médaillé paralympique)
- Jacques Lecomte ( « La Bonté Humaine » )
- Tristan Lecomte (Alter Eco)
- Alizee Lozac’hmeur (Makesense)
- Thierry Marx (Chef engagé)
- Nassim Merzouk (JeVeuxAider.com)
- Sophie Nunziati (L’Agence Verte)
- Atanase Perifan (La Fête des voisins)
- Grégory Pouy (Podcast Vlan)
- Isalou Regen (Auteur conférencière)
- Jean-Dominique Siegel (WeDemain)
- Catherine Testa (L’Optimisme)
- Yann Toma (Artiste plasticien)
Liste mise à jour sur www.altruwe.org/ils-nous-soutiennent/
Cultivons l’altruisme, ensemble
L’altruisme, une solution aux défis de notre temps. C’est la conclusion du livre de Matthieu Ricard :
- À court terme, il peut répondre aux exigences économiques car la coopération est plus efficace que la concurrence ; elle préserve les biens communs menacés ; elle permet de combattre les inégalités.
- À moyen terme, l’altruisme favorise la satisfaction des individus car il est prouvé que se préoccuper des autres rend plus heureux et en meilleure santé qu’être uniquement guidé par son intérêt personnel.
- À long terme, l’altruisme répond au défi écologique car il lie tous les êtres vivants à un destin commun, nous invitant à limiter notre impact pour léguer une planète vivable aux générations futures.

On ne naît pas altruiste, on le devient
Pour altruwe, la société égoïste et cynique du chacun pour soi n’est ni une réalité, ni une fatalité. Les scientifiques le disent : tout est possible, car nous naissons libres et non prédestinés. Dès lors, tout peut concourir à faire grandir notre altruisme :
- L’éducation parentale : exprimer de l’affection à l’enfant, agir soi-même de manière altruiste et servir d’exemple, sensibiliser l’enfant à l’impact de ses actions sur autrui, lui fournir l’occasion d’être utile aux autres…
- L’école : les établissements favorisant la coopération, les nouvelles méthodes comme l’éducation positive ou les théories de Céline Alvarez.
- Une prédisposition souvent innée : sensibilité à autrui présente dès la naissance, prédisposition cérébrale à l’amour, la coopération, l’empathie...
80 % d’entre nous auraient un « potentiel altruiste »
Contrairement aux idées reçues (et souvent pessimistes) sur la société, selon Huzban/Houser :
- Environ 20 % des gens sont des altruistes éclairés « actifs ».
- Environ 60 % des gens suivent les tendances et les leaders d’opinion : ils contribuent au bien public à condition que tout le monde en fasse autant.
- Seuls 20 % des gens ne sont pas du tout enclins à coopérer.
Le pari d’altruwe est de mobiliser les 80 % chez qui l’altruisme peut grandir et s’enraciner.
altruwe a confié la création de sa plateforme de marque à CNX France, la cellule créative de Condé Nast.
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